Existence d'autres branches cadettes contemporaines de la famille de VERGEZAC ?

ancêtres paternel

Parmi les branches contemporaines de la famille de VERGEZAC, il en existe au moins deux, décrites dans la branche cadette.

Y-en-a-t-il d'autres subsistantes aujourd'hui ?

L'examen des registres de l'Etat-civil des communes de la haute-Loire ne permet pas de répondre à cette question !

L'exploitation de ces registres ne m'a pas permis de tracer une filiation complète de tous ces personnes portant les noms de VERGEZAT, VERGIZAT, VERGESAC, VERGESAT, VERGEZAC de 1700 à nos jours. Plusieurs rameaux disjoints ont été identifiés, sans qu'il soit possible de les relier entre-eux.

La présence de nombreux "VERGEZAC" à Chaspuzac (lieu-dit de Fontanes) à partir de 1639, ainsi qu'à Sanssac-l'Eglise (lieu-dit d'Eyssac) communes voisines à partir de 1680 est avérée, sans qu'il soit possible de les relier. Ces "VERGEZAC" sont cultivateurs et se marient avec des familles locales elles-aussi exerçant le métier de cultivateur. Ces registres montrent qu'à cette épôque, vers 1640-1680, ces familles "VERGEZAC" n'étaient pas qualifiées de nobles.

La poursuite de la recherche de l'ancêtre commun passe par l'exploitation des autres sources d'archives.

Albert BOUDON-LASHERMES pense que la branche des VERGEZAC ayant fait souche à Saint-Vidal est issue de Guillaume BERTRAND de VERGEZAC, né vers 1380, seigneur de Vergonges. L'auteur précise que "la postérité existe encore à Saint-Vidal" dans ses "parsonniers vellaves", édition de 1935-1940. Cependant, il n'en donne pas la filiation. Les recherches effectuées sur les registres de l'Etat-civil de la commune de Saint-Vidal pour la famille VERGEZAC permettent de remonter la filiation jusqu'en 1738. Là aussi, on constate que l'ancêtre le plus ancien et ses descendants directs ne sont qualifiés ni de noble ni d'écuyer dans les actes de l'Etat-civil, antérieurs à la révolution.